Soumises à une concurrence internationale féroce les entreprises européennes doivent se prémunir contre les ingérences étrangères et les risques d’atteinte à la sécurité de leurs données.
Dans ce contexte, le caractère de plus en plus souvent impératif et extraterritorial des mécanismes de compliance peut entraîner des risques qu’il appartient aux directions E&C de prévenir.
Quel recours aux cabinets étrangers ? Quelle effectivité des lois de blocage ? Quels détournements des processus de transparence et d’alerte ? Quelle classification et quelle protection des données sensibles issues de ces dispositifs ? Pour répondre à l’ensemble de ces questions et venir en discuter avec vous, trois experts de haut-niveau :
Dans ce contexte, le caractère de plus en plus souvent impératif et extraterritorial des mécanismes de compliance peut entraîner des risques qu’il appartient aux directions E&C de prévenir.
Quel recours aux cabinets étrangers ? Quelle effectivité des lois de blocage ? Quels détournements des processus de transparence et d’alerte ? Quelle classification et quelle protection des données sensibles issues de ces dispositifs ? Pour répondre à l’ensemble de ces questions et venir en discuter avec vous, trois experts de haut-niveau :
- Joffrey Celestin-Urbain, Chef du service de l’Information Stratégique et de la Sécurité Économique (SISSE) ;
- Benoît Mercier, Global Compliance Officer chez Dassault Systèmes ;
- Astrid Mignon-Colombet, avocat associée au cabinet August Bebouzy, spécialisée en droit pénal des affaires à dimension internationale.