A l’heure de la “grande démission”, du “quiet quiting”, et plus largement de la recherche irréfrénable de sens au travail, le CEA a souhaité s’interroger : « l’éthique peut est-elle être un levier de bonheur et de satisfaction au travail ? »
Réflexion sur les valeurs mais aussi instrument de régulation des comportements, la question éthique semble en effet au coeur de ces interrogations tant à l’échelle individuelle que collective. Quels sont les déterminants psychologiques et organisationnels de la souffrance et du bonheur au travail ? Comment juguler la première et favoriser le second ? En tant que directeur de l’éthique, quels sont les leviers actionnables ?
Pour répondre à ces questions, nous invitons plusieurs intervenants de haut niveau, à la croisée des expertises :